Une brève histoire de Londres
La première colonie fut fondé ici en 43 ap J.-C. par des Romains dès leur conquête de la Grande Bretagne et elle fut nommée Londinium. Après une prise par la peuplade de Iceni, menée par la Reine Boadicée, en 61 ap J.-C. la ville fut rebâtie et elle prospéra rapidement et supplenta Chichester comme la capitale de la province romaine de Britannia en 100 ap J.-C. Pendant l’apogée de l’empire romain en 2e siècle, Londres eut une population d’environ 60.000.
En 6e siècle, les Anglo-Saxons avaient créé une nouvelle colonie nommée Lundenwic environ 900m en amont de la ville romaine, autour de la région actuelle de Covent Garden. Il est bien probable qu’il y ait eu en port à l’embouchure de la rivière Fleet pour la pêche et le commerce et ce dernier se développa jusqu’à ce que la ville fut envahie par les Vikings, qui ont commandèrent qu’elle se déplace de nouveau au site de Londinium romain, afin qu’il puissent utiliser les murs de celle-ci pour se protéger. La ville saxone originale de Lundenwic devint Ealdwic (« la vieille ville »), un nom qui survit jusqu’ici comme Aldwych, qui se trouve au quartier de Westminster.
La peste eut causé de grands problèmes pour Londres pendant le 17e siècle, culminant en 1665-1666 avec la Grande peste de Londres qui tua plus de 100.000 personnes, qui constituait environ une cinquième de la population totale de Londres. Cela fut la dernière déclaration en Angleterre, bien probablement grâce au Grand incendie de Londres en 1666. Cet incendie se déclara dans la ville originale et avança très rapidement à travers les maisons en bois londoniennes détruirant de grandes parties de la ville. Il y fallut plus de 10 ans pour la rebâtir, principalement sous la direction d’une commission désignée par Roi Charles II, présidée de Sir Christopher Wren.
Puis, la plupart de Londres fut détruite pendant les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, qui ont tué plus de 30.000 personnes. Malgré les dégâts que ceux-ci ont causé, la ville était en général très bien reconstruit, avec beaucoup de la plus mauvaise architecture étant remplacé des bâtiments plus modernes et élégants.
En 18e siècle, Samuel Johnson, l’auteur du dictionnaire de la langue anglaise, a écrit la description suivante de la ville : “You find no man, at all intellectual, who is willing to leave London. No, Sir, when a man is tired of London, he is tired of life; for there is in London all that life can afford.” (On ne trouve aucun homme intelligent qui soit prêt à s’en aller de Londres. Non, Messieurs, lorsqu’un homme en a assez de Londres, il en a assez aussi de la vie elle-même, car à Londres il y a tout ce qui le vie pourrait se permettre.)
L’histoire des universités londoniennes
University College London
University College London (UCL) a été fondé en 1826 et est la troisième plus vieille université anglaise et la première institution universitaire fondée à Londres. C’était aussi la première université à admettre les étudiants sans égard pour leur réligion ou sexe. Pendant cette époque-là, les seules universités en Angleterre étaient celle d’Oxford et de Cambridge et elles étaient réservées aux membres de l’Église d’Angleterre. Elle a présenté aussi de nombreuses matières qui jusqu’à là ne s’offrissaient pas aux universités anglaises, par exemple, des langues étrangères modernes, la langue et la littérature anglaises ainsi que l’ingénierie et l’architecture.
L’université de Londres
L’université de Londres a été fondé en 1836 par une charte royale qui a uni administrativement London University (maintenant University College London) et King’s College (maintenant King’s College London. Aujourd’hui, il s’agit d’une université fédérale composée de 31 membres: 19 institutions universitaires séparées et 12 instituts de la recherche. Comme telle, l’université de Londres est la plus grande université du Royaume-Uni par nombre d’étudiants à plein temps, dont il y a 135.090 étudiants basés à ses campus.
Queen Mary, University of London
Queen Mary a des racines à quatre collèges historiques : Queen Mary College, Westfield College, St. Bartholomew’s Hospital Medical College et London Hospital Medical College. Historiquement, le campus de Mile End et le foyer de Queen Mary College, qui a été fondé en 1887 comme The People’s Palace (le palais du public), une tentative philanthropique de fourir de l’éducation et d’activités culturelles aux habitants de la partie de l’est de Londres. Il a été admis à l’université de Londres en 1915.
L’université de Kingston
Les origines de l’université de Kingston se trouvent en 1839, quand quatre résidents ont établi Kingston Literacy and Scientific Institute pour fournir des cours du soir aux jeunes hommes. Plus tard, un chirurgien cossu qui s’appellait George Taylor, a établi un institut au coin de Thames Street et Clarence Street, dans un bâtiment au style néoclassique, qui logeait une bibliothèque, un laboratoire et un amphithéâtre.
Université de Brunel
Lorsque l’université de Brunel a été fondé en 1928, but principal était de fournir des recrues à l’industrie locale et les statistiques de HM Inspectors montrent qu’entre 1928 et 1933, 90 pourcent de garçons qui quittaient l’école ont trouvé un emploi dans les métiers d’ingénierie et de construction. Cela était le précédent assez bien fondé de la réputation presque sans égal de diplômés de Brunel qui trouvent un emploi.